Et le Hobbit est en toi !

Et le Hobbit est en toi !

Deviens qui tu es.

Alors que la trilogie de Peter Jackson, adaptée du livre Bilbo Le Hobbit de J.R.R Tolkien, touche à sa fin avec une note épique, la question de la quête de soi est plus que jamais d’actualité.

Parce que finalement, plus que la réponse à des questions ou la résolution de problématiques, qu’est-ce que recherche une personne si ce n’est de se trouver soi-même, de devenir celui qu’on est à l’intérieur? Souvent, les gens se contentent de rester au stade de chrysalide plutôt que d’aller vers la métamorphose qui permettra au papillon de s’envoler. Et rester dans cette zone de confort, quand bien même elle ne nous convient pas, est souvent plus facile que d’aller vers l’inconnu, d’oser.
L’histoire de Bilbo Le Hobbit, c’est l’histoire d’un personnage qui se tient tranquille dans sa vie routinière au fin fond de sa comté. Alors qu’un sorcier frappe à sa porte pour lui proposer une aventure épique, il va d’abord la refuser, ne voyant que les désavantages à un tel périple. Parce que oui, il ne faut pas se leurrer, partir en quête, c’est un travail qui demande un investissement, une motivation. Un chemin où l’on rencontre des obstacles, des ennemis à surmonter. Et c’est loin de toujours être agréable et facile.

Pourtant, notre héros finit par céder à l’appel de l’aventure et débute alors un voyage inattendu au cours duquel Bilbo va affronter toutes sortes de barrières et, confronté à des situations périlleuses dans lesquelles il n’est pas à l’aise, il va pourtant les dépasser, puisant au plus profond de lui-même des ressources dont il ne soupçonnait pas l’existence (le courage, la loyauté, l’intelligence stratégique…), mais simplement parce qu’il se laisse guider par ce que certains appelleraient « l’instinct », « l’intuition », « les tripes »…. et qui n’est autre que cette partie de nous qui gère tous les comportements, l’inconscient.

Grandit de ce voyage inoubliable, d’une nouvelle expérience, il rentre chez lui. Pourtant, il n’est plus le même qu’à son départ. Évidemment, il a conservé ses valeurs profondes, ce qui l’anime, il  en a même acquis de nouvelles. Mais quelque chose a changé. En sortant de sa zone de confort, il a tout simplement saisit sa chance d’aller vers son « soi idéal », le papillon s’est envolé…

Et vous, de quoi avez-vous besoin pour devenir le papillon qui sommeille en vous et ne demande qu’à être libéré ?

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